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Les chroniques de Régine, ce sont des papiers d'humeur, d'humour et d'opinions au fil de mes intérêts qui s'égrenent en :

Chronique du bien-être
Chronique des débats

Chronique de la famille
Chronique du coeur
Chronique des sorties

complétés par des dossiers spéciaux, plus fouillés sur ces thématiques pour aller plus loin dans la communication et l'échange d'informations.

En 2017, ce blog renaît avec une nouvelle
Chronique des femmes.


Qui suis-je ?

A la croisée des chemins entre sciences et spiritualité,
écologie et modernité,
actions et réflexions,
je suis une chercheuse de sens et d'équilibre pour cette vie que je trouve pleine de logiques et de surprises.

Et plus professionnellement...

... reconvertie à la rédaction et l’écriture après 12 années d’une carrière d’ingénieur chimiste dans une entreprise de cosmétiques, j'associe le plaisir d'écrire ces chroniques avec une activité de conseil et de communication pour des entreprises qui apprécient "ma plume" et "mon style"  mais aussi pour des particuliers qui veulent traduire par écrit des récits de vie.



Mes magazines plaisirs


 Quand l'être de coeur s'enrhume

 

Mon héroîne du coeur vit dans un pays où l'automne rime avec feuilles mortes mais aussi petits désagréments liés à nez bouché et toux chantante. Et pour elle, quand l'être de son coeur s'enrhume, elle se dit aie, aie, aie la vie se complique un peu, très peu certes mais suffisamment pour avoir envie d'en parler et d'en rire aujourd'hui avec vous.

Mais pourquoi donc la vie se complique ?

Parce que la nuit elle est réveillée par des atchoums intenpestifs, des toux rebelles et des levés inopinés pour aller chercher mouchoirs, onguents et tout autre médicament. Elle a forcément l'impression qu'elle est plus discrête quand elle aussi a la goutte au nez.

Parce que ses conseils de tisanes, d'infusions, ou autres inhalations ne sont jamais suivis et que son être de coeur préfère le pragmatisme des flacons au design pharmaceutique mais pour elle après 3 jours de statu-quo inefficaces.

Parce qu'elle se rend compte que le mot atchoum est pour son être de coeur un sésame pour redevenir petit et se faire dorloter un peu pas trop mais suffisamment pour se dire qu'il est peut-être bien plus malade qu'il ne paraît .

Et si seulement elle aussi pouvait avoir la goutte au nez. 

C'est facile en dorlotant son être de coeur, non seulement elle favorise sa guérison mais elle a toutes les chances de pouvoir vérifier un peu plus tard si quand elle est malade, la vie se complique un peu, beaucoup ou pas du tout ?

A votre avis ?


Mots-clés :

Au hasard des chroniques