L'exemplarité pour redonner confiance
Dimanche, les français sont invités à élire leur conseillers régionaux. Êtes-vous attentifs à ce scrutin ?
Depuis l'élection de Nicolas Sarkozy, il devient encore plus difficile de faire un choix motivé par une réelle confiance dans la personne ou le groupe que l'on propulse sur le devant de la scène. Les politiques, ces dernières années ont tellement abusé des promesses non tenues, des discours contradictoires, des privilèges liés à leur place que l'on se demande de plus en plus si leur motivation est de défendre l'intérêt de tous et non celui de leur environnement proche. Certes, ce point de vue est restrictif mais il est indéniable que la confiance en l'homme politique a disparu.
Gérard Mermet dans son ouvrage Francoscopie 2010 : Tout sur les Français ed Larousse le dit très clairement " la crise actuelle peut-être regardée principalement comme une crise de la confiance tant en matière politique, économique, sociale, médiatique, scientifique ou même religieuse". On comprend facilement son analyse issue de données objectives, nous même sommes-nous pas régulièrement suspicieux ?
L'homme politique doit ainsi donner confiance à l'électeur qui dimanche choisira son bulletin et pas celui de son concurrent. Pour séduire l'électorat, de multiples plans de communication sont déployés mais très souvent ils ne reposent que sur des promesses, sur des critiques du camp adverse et très rarement sur des actes exemplaires et non discutables réalisés auparavant et qui permettraient d'asseoir la légitimité de notre choix. Être exemplaire c'est certes ne pas s'engager dans la voix de la facilité qui souvent est associée au mensonge mais c'est commencer à tracer un sillon différent dans lequel de nouvelles graines pourront germer pour le bien de tous où le mot mensonge est banni.
Un exemple récemment mis en scène dans l'excellent film Invictus est celui de Mandela qui par son comportement exemplaire, ses convictions inébranlables et profondément tournées vers le bien-être des hommes a su entraîner dans son sillage toute une nation.
Y a-t-il dimanche des candidats dans cette logique ?
Depuis l'élection de Nicolas Sarkozy, il devient encore plus difficile de faire un choix motivé par une réelle confiance dans la personne ou le groupe que l'on propulse sur le devant de la scène. Les politiques, ces dernières années ont tellement abusé des promesses non tenues, des discours contradictoires, des privilèges liés à leur place que l'on se demande de plus en plus si leur motivation est de défendre l'intérêt de tous et non celui de leur environnement proche. Certes, ce point de vue est restrictif mais il est indéniable que la confiance en l'homme politique a disparu.
Gérard Mermet dans son ouvrage Francoscopie 2010 : Tout sur les Français ed Larousse le dit très clairement " la crise actuelle peut-être regardée principalement comme une crise de la confiance tant en matière politique, économique, sociale, médiatique, scientifique ou même religieuse". On comprend facilement son analyse issue de données objectives, nous même sommes-nous pas régulièrement suspicieux ?
L'homme politique doit ainsi donner confiance à l'électeur qui dimanche choisira son bulletin et pas celui de son concurrent. Pour séduire l'électorat, de multiples plans de communication sont déployés mais très souvent ils ne reposent que sur des promesses, sur des critiques du camp adverse et très rarement sur des actes exemplaires et non discutables réalisés auparavant et qui permettraient d'asseoir la légitimité de notre choix. Être exemplaire c'est certes ne pas s'engager dans la voix de la facilité qui souvent est associée au mensonge mais c'est commencer à tracer un sillon différent dans lequel de nouvelles graines pourront germer pour le bien de tous où le mot mensonge est banni.
Un exemple récemment mis en scène dans l'excellent film Invictus est celui de Mandela qui par son comportement exemplaire, ses convictions inébranlables et profondément tournées vers le bien-être des hommes a su entraîner dans son sillage toute une nation.
Y a-t-il dimanche des candidats dans cette logique ?
Moi pas trop comprendre la dame ??????????
Difficile de comparer Mandela à Sarkozy? Faut-il qu'une nation descende aussi bas dans le racisme pour ensuite rebondir?
Et puis Invictus c'est du cinéma pour les braves gens. Un petit rappel, en demi-finale, la France a échoué à 10 cm de la ligne d'essai et a perdu son match de 3 points contre les africains du sud et je ne pense pas que Mandela est stoppé le ballon!!!
Je ne sais pas... je pense que la politique est devenu un job et non plus une vocation. Je cumule, j'ai mon petit pouvoir, mes jolies maîtresses et je gagne facilement ma vie, une petite phrase et le tour est joué. Ensuite arrive l'élection et j'ai très peur du chomage alors il faut me battre quitte à manger mon chapeau et embrasser un extrême.
En plus nous jugeons un homme politique sur sa façon de parler, de bouger ou de moucher son adversaire.... cela c'est bien pour gagné mais après il faut être un patron, un économiste, un gars brillant et non pas un beau parleur.
Enfin j'admire les gens de gauche les vrais qui reverse leur salaire au parti, là, il y a encore une vocation... Ont-ils raison?
Et encore un petit dernier pour la route, obligeaons les profs a travailler 22/24 heures par semaines au lieu de 18/20. Risquons les grèves et expliquons que normalement on bosse 35 heures pour 47 semaines par an et non 20 heures pour 35 semaines.