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Les chroniques de Régine, ce sont des papiers d'humeur, d'humour et d'opinions au fil de mes intérêts qui s'égrenent en :

Chronique du bien-être
Chronique des débats

Chronique de la famille
Chronique du coeur
Chronique des sorties

complétés par des dossiers spéciaux, plus fouillés sur ces thématiques pour aller plus loin dans la communication et l'échange d'informations.

En 2017, ce blog renaît avec une nouvelle
Chronique des femmes.


Qui suis-je ?

A la croisée des chemins entre sciences et spiritualité,
écologie et modernité,
actions et réflexions,
je suis une chercheuse de sens et d'équilibre pour cette vie que je trouve pleine de logiques et de surprises.

Et plus professionnellement...

... reconvertie à la rédaction et l’écriture après 12 années d’une carrière d’ingénieur chimiste dans une entreprise de cosmétiques, j'associe le plaisir d'écrire ces chroniques avec une activité de conseil et de communication pour des entreprises qui apprécient "ma plume" et "mon style"  mais aussi pour des particuliers qui veulent traduire par écrit des récits de vie.



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 Et si on sentait ?

  • Régine
  • Mercredi 26/05/2010
  • 17:44
  • Version imprimable
 

Sentir, ressentir tel est l'objet du nez, organe se trouvant pile au milieu du visage mais dont nous oublions parfois de transmettre l'utilité à nos enfants. 

Parmi les 5 sens, l'odorat est le parent pauvre de ceux qui sont stimulés, avez-vous sentis des cours d'olfaction dans les classes de maternelle ? Les enfants sont entraînés pour reconnaître les couleurs, les formes géométriques, les sons avec souvent une éducation musicale et linguistique dès le plus jeune âge mais quand on leur demande de réagir par rapport à des odeurs l'exercice est plus difficile.

La langue française est très pauvre pour définir les odeurs si ce n'est "ça sent bon", "ça sent mauvais" et on se contente seulement de les nommer. L'odeur est rattachée à son origine ( la rose, la lavande, la menthe ... ) mais mettre des nuances au point que l'on puisse faire deviner une effluve sans la nommer est une tâche impossible. Repenser la linguistique n'est pas le propos mais développer l'odorat de nos enfants peut-être une activité amusante.

La saison actuelle révèle l'éclosion des parfums dans la nature et pourquoi pas cette semaine risquer une promenade olfactive. Chacun, le nez au vent ramasse ce qui a suscité un intérêt odorant chez lui, ce sera pour certains des brins de thym, des pétales de rose, du laurier mais aussi pour d'autres des fraises Tagada, des mouillettes de parfum, le poupon qui sent la vanille ou bien la part de gâteau au chocolat de mamie Jeanne. 

De retour à la maison, chacun partage son trésor et on peut imaginer ensuite des jeux pour reconnaître les yeux bandés quel est l'objet dont l'odeur titille le nez ? et pourquoi pas élire son préféré . Si c'est la part de gâteau au chocolat de mamie Jeanne, la dégustation se fera avec un autre regard, que dis-je un autre nez !!!

 


Commentaires

Mon nez reconnait toujours l'odeur du gâteau au chocolat, et pas que celui de mamie Jeanne...

 

 

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