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Les chroniques de Régine, ce sont des papiers d'humeur, d'humour et d'opinions au fil de mes intérêts qui s'égrenent en :

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complétés par des dossiers spéciaux, plus fouillés sur ces thématiques pour aller plus loin dans la communication et l'échange d'informations.

En 2017, ce blog renaît avec une nouvelle
Chronique des femmes.


Qui suis-je ?

A la croisée des chemins entre sciences et spiritualité,
écologie et modernité,
actions et réflexions,
je suis une chercheuse de sens et d'équilibre pour cette vie que je trouve pleine de logiques et de surprises.

Et plus professionnellement...

... reconvertie à la rédaction et l’écriture après 12 années d’une carrière d’ingénieur chimiste dans une entreprise de cosmétiques, j'associe le plaisir d'écrire ces chroniques avec une activité de conseil et de communication pour des entreprises qui apprécient "ma plume" et "mon style"  mais aussi pour des particuliers qui veulent traduire par écrit des récits de vie.



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 Egalité des sexes sur l'autorité ?

  • Régine
  • Mercredi 22/07/2009
  • 10:04
  • Version imprimable
 

Je suis en train de découvrir ce que signifie l'autorité sur un enfant en bas âge et comment elle peut se répartir entre hommes et femmes. J'ai le souvenir de mon époque pas si lointaine que cela où il suffisait que ma mère me dise " j'appelle ton père " pour que je m'aperçoive de la gravité de la situation et que je me calme instantanément . 
Maintenant, si on soumet cette idée à un enfant, il se demande bien ce qui arrive et il se dit peut-être même " chouette, on va s'amuser" . 

Les époques ont changé, certes pour notre bien et depuis 1970 la notion de chef de famille a été remplacée au profit de l'autorité parentale conjointe. Malgré tout, je sens bien qu'il y a une différence quand les injonctions viennent du père ou de la mère.

Soucieuse de comprendre ce qui se passe dans la tête de ces chérubins en croissance, je me suis retournée vers la psychologie basique de l'enfance. Et en effet, même si les rôles entre le père et la mère tendent à se mélanger, il n'en reste que pour l'enfant le père est le garant des limites, c'est lui qui pose le NON et d'une certaine manière il est ainsi le rempart nécessaire contre l'amour trop fusionné avec la mère. Pour le psychanalyste Tony Anatrella, " une société sans père est une société sans repère".

C'est ainsi que face à l'autorité les 2 sexes ne sont pas égaux et pour faire intégrer la puissance du NON à l'enfant, base de son intégration future dans la société, il est nécessaire de redéfinir les rôles.

OUI ou NON ?

 


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Commentaires

Je suis tout à fait d'accord - tout l'art réside dans l'équilibre entre l'autorité et le côté amusement

 

 

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