Du bibliobus au googlebus
Maintenant que Google numérise les fonds de certaines bibliothèques prestigieuses, la connaissance va pouvoir se diffuser d'une manière encore plus rapide.
L'arrivée d'internet dans les foyers a permis déjà d'avoir en quelques clics des réponses à des questions soudaines et parfois très futiles. Hier soir, je cherchais précisément pourquoi la mer était salée ? demain ce sera un autre sujet tout aussi léger mais après demain pourquoi pas une recherche sur les effets des molécules souffrées dans le développement de la pollution marine.
Chaque étudiant se rappelle avec nostalgie ou horreur les heures passées dans les bibliothèques à traquer l'article intéressant. C'était un peu le parcours du combattant mais l'intérêt se situait aussi dans ce processus lent et fastidieux de la recherche d'informations.
Aujourd'hui, et c'est assez incroyable, on peut aisément faire un dossier de 15 pages sur un sujet peu connu sans sortir de chez soi. Et ceci grâce à un moteur de recherche ultra puissant qui fut lancé en 1998 par une société visionnaire et en constante innovation. Que l'on soit d'accord ou pas par l'hégémonie dans ce domaine de Google, il est intéressant de voir qu'un habitant isolé du reste du monde peut accéder aux mêmes informations qu'un citadin d'une grande ville. Il ne devient plus nécessaire d'attendre le passage du bibliobus dans sa commune pour avoir le livre désiré.
Le problème se situe plus au niveau de la gestion de toutes ces informations obtenues en temps réel car parfois attendre un peu la réponse nous donne encore plus envie de la retenir et de se l'approprier. C'était peut-être cela l'intérêt des heures passées dans les rayonnages de nos bibliothèques.
N'est-ce pas ?
L'arrivée d'internet dans les foyers a permis déjà d'avoir en quelques clics des réponses à des questions soudaines et parfois très futiles. Hier soir, je cherchais précisément pourquoi la mer était salée ? demain ce sera un autre sujet tout aussi léger mais après demain pourquoi pas une recherche sur les effets des molécules souffrées dans le développement de la pollution marine.
Chaque étudiant se rappelle avec nostalgie ou horreur les heures passées dans les bibliothèques à traquer l'article intéressant. C'était un peu le parcours du combattant mais l'intérêt se situait aussi dans ce processus lent et fastidieux de la recherche d'informations.
Aujourd'hui, et c'est assez incroyable, on peut aisément faire un dossier de 15 pages sur un sujet peu connu sans sortir de chez soi. Et ceci grâce à un moteur de recherche ultra puissant qui fut lancé en 1998 par une société visionnaire et en constante innovation. Que l'on soit d'accord ou pas par l'hégémonie dans ce domaine de Google, il est intéressant de voir qu'un habitant isolé du reste du monde peut accéder aux mêmes informations qu'un citadin d'une grande ville. Il ne devient plus nécessaire d'attendre le passage du bibliobus dans sa commune pour avoir le livre désiré.
Le problème se situe plus au niveau de la gestion de toutes ces informations obtenues en temps réel car parfois attendre un peu la réponse nous donne encore plus envie de la retenir et de se l'approprier. C'était peut-être cela l'intérêt des heures passées dans les rayonnages de nos bibliothèques.
N'est-ce pas ?
Mots-clés : google, information
