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Les chroniques de Régine, ce sont des papiers d'humeur, d'humour et d'opinions au fil de mes intérêts qui s'égrenent en :

Chronique du bien-être
Chronique des débats

Chronique de la famille
Chronique du coeur
Chronique des sorties

complétés par des dossiers spéciaux, plus fouillés sur ces thématiques pour aller plus loin dans la communication et l'échange d'informations.

En 2017, ce blog renaît avec une nouvelle
Chronique des femmes.


Qui suis-je ?

A la croisée des chemins entre sciences et spiritualité,
écologie et modernité,
actions et réflexions,
je suis une chercheuse de sens et d'équilibre pour cette vie que je trouve pleine de logiques et de surprises.

Et plus professionnellement...

... reconvertie à la rédaction et l’écriture après 12 années d’une carrière d’ingénieur chimiste dans une entreprise de cosmétiques, j'associe le plaisir d'écrire ces chroniques avec une activité de conseil et de communication pour des entreprises qui apprécient "ma plume" et "mon style"  mais aussi pour des particuliers qui veulent traduire par écrit des récits de vie.



Mes magazines plaisirs


 C'est dimanche, au boulot !

 

Aujourd'hui, la Chronique des débats se met au diapason de l'actualité en ouvrant le vaste sujet du travail du dimanche.

Ce repos hebdomadaire que nous avons toujours connu a été instauré par la loi du 13 juillet 1906 puis étendu à un jour supplémentaire avec Léon Blum et la semaine de 40 heures. Depuis les années 80, ces années où consommer devient pour certains une raison d'être, des pressions sont faites d'une manière récurrente pour remettre en cause cette loi de 1906. Il est vrai que ce sont plus les grands du commerce qui sont gênés par ce repos imposé que les industriels.

Sans rentrer dans un débat politique, ni économique, avez-vous envie que les dimanches ressemblent aux autres jours de la semaine ?

Au maximum 5 fois dans l'année comme l'autorise la loi actuelle, nous pouvons déjà nous rendre compte de ce qu'est la ville quand le repos dominical n'est pas respecté. C'est toujours à des périodes où seule la consommation est la motivation de l'instant, à savoir autour des fêtes de fin d'année, au début des périodes de soldes et envisager que ceci s'étende me paraît une aberration.
 
Certes, il faut relancer l'économie mais ouvrir les magasins ne veut pas dire attirer les clients et surtout rendre l'atmosphère du dimanche comme celles des autres jours de la semaine semble définitivement tuer la créativité de chacun. 
Car en effet, le dimanche devant le calme régnant, voir parfois une possibilité d'ennui, chacun peut alors se poser la question de savoir réellement comment il veut employer son temps libre. Et c'est dans ce contexte que le dialogue familial peut avoir lieu, que le rapprochement des générations se fait, que l'ouverture à la culture s'opère sans oublier les possibilités sportives de la simple marche ou tournoi de tennis .
Tuer ce temps de pause pour le remplir par ce que nous avons déjà le reste de la semaine ne ferait qu'amplifier un certain ronron dans lequel il est si facile de se laisser happer. Et au lieu d'arriver à faire nos courses, activité pas forcément la plus agréable, le reste de la semaine nous ne ferions que diluer ce temps sur 7 jours pour en final se dire je ne fais plus rien qui me plaise.

Vous l'avez compris, c'est dimanche au boulot n'est pas mon credo.

Et vous ?



Mots-clés :

Au hasard des chroniques